De retour derrière la caméra après son brillant Braveheart de 1995 qui lui valut 5 Oscars (dont ceux du meilleur réalisateur et du meilleur film), Mel Gibson s'attaque près de dix ans plus tard au genre ô combien délicat du film religieux.
Merci pour tout ce gros boulot en cette periode Pascale... la dalle.
Ca me fait quand meme halluciner que certains catholique aillent voir en "groupes" le film... Dit comme ca, on dirait qu'ils veulent vraiment plus faire un succes et promouvoir leur foi que de voire un film, saisir une vision des choses, un message. Comme si ce film etait une amorce a la capitalisation sauvage de cette foi...
> La Passion du Christ -
jolan, le 3 avril 2004 à 05:00:20