Kaze wa sakebu, hito no yo no kanashimi o hoshi ni dakareta shijima no naka de mune o akeba moyuru chishio no aka wa tomo ni mazarite ooi-naru nagare ni hito wa yume-miru, yue ni hakanaku hita wa yume-miru, yue ni ikiru mono aah, aah, dare mo shiranai aah, aah, ashita chiru hana sae mo katai chigiri ranman no hana no shita tsuki o nomi-hosu utage no sakazuki kimi wa kaerazu nokosarete tatazumeba kata ni ano hi no chikai no hanafubuki hito wa shinjite, soshite yaburete hito wa shinjite, soshite ikiru mono aah, aah, dare mo shiranai aah, aah, ashita chiru hana sae mo kuni wa yaburete, shiro mo yaburete kusa wa karete mo, kaze wa naki-wataru aah, aah, dare mo shiranai aah, aah, kaze no sono sugata o aah, aah, hana ga tsutaeru aah, aah, kaze no sono sugata o | Le vent crie la tristesse du monde des hommes Dans un calme embrassé par les étoiles Et dans ce flot, dans lequel ils se confondront, S'ils ouvrent leurs bras, à la rougeur du sang brûlant... Les hommes rêveront, mais ce n'est qu'éphémère... Les hommes rêveront, car ils sont en vie... aah, aah, personne ne le sait... aah, aah, même la fleur qui fânera demain... Une promesse sincère sous la splendeur des fleurs Un festin où les verres boivent la Lune... Si tu t'arrêtais, sans rentrer, en laissant tout, Sur tes épaules, tomberait la pluie de pétales de fleur du jour de cette promesse... Les hommes croient, mais se font briser... Les hommes croient, car ils sont en vie... aah, aah, personne ne le sait... aah, aah, même la fleur qui fânera demain... Le royaume est déchiré, le château est assiégé, Mais même si l'herbe fâne, le vent passe et crie sa tristesse... aah, aah, personne ne sait... aah, aah, l'apparence que prend le vent... aah, aah, ce sont les fleurs qui nous diront... aah, aah, l'apparence que prend le vent... |